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Le
chat le plus paresseux de l'histoire de la BD voit le jour en 78 dans la
presse quotidienne et dominicale américaine. Garfield, adulé par son maître,
peut savourer tout à loisir le plaisir de ne rien faire; gras, toujours
fatigué, toujours affamé, toujours bavard, il philosophe avec humour sur sa
condition féline. En oubliant pas de s'alimenter et de se reposer, bien
sûr... (Dargault) |
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Extrait
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